En 1969, ma femme faisait sa première année en tant que professeur de mathématiques à Strasbourg et j’étais alors en stage.
Elle a été contactée par une de ses collègues qui était déléguée de l’Orphelinat.
Cette association à but non lucratif, reconnue d’utilité publique, permet de protéger les orphelins en cas de décès d’un des parents membres de l’association.
Nous avons de suite adhéré bien qu’à l’époque nous n’avions pas d’enfant.
Il est vrai que depuis toujours, nous sommes sensibilisés au devenir des enfants et nous pensons que les adultes doivent leur venir en aide lorsqu’ils traversent des moments difficiles.
Nous avons tous les deux, année après année, cotisé fidèlement à l’Orphelinat.
Quelques années après, au départ à la retraite d’un collègue qui était délégué de l’Orphelinat à Marseille, j’ai accepté de prendre sa succession.
Là aussi, pendant 39 ans, je me suis investi davantage dans cette association et j’ai pu convaincre de nombreux collègues de nous rejoindre.
Une fois moi-même à la retraite et disposant ainsi de plus de temps, j’ai alors intégré le Conseil d’administration et j’en suis actuellement un des Vice-Présidents.
Je peux donc témoigner que, tout au long de ces 47 ans d’investissement, l’Orphelinat a pu permettre à des enfants de poursuivre des études et leur assurer un meilleur avenir.
En effet, ces derniers ont pu bénéficier d’aides financières substantielles et d’un accompagnement moral par un membre du Conseil d’administration.
Vous trouverez sur notre site les témoignages de certains d’entre eux et en particulier celui de Julien Serres que j’ai pu aider parmi d’autres et dont la réussite est exemplaire.
J’incite donc fortement tous les collègues qui me liront à nous rejoindre pour assurer la pérennité de notre association qui a une véritable utilité sociale.

M. BLANC Bernard Professeur de Mathématiques
Septembre 2016

J’ai d’abord adhéré à l’OEP lorsque, élevant seule mes enfants, je souhaitais leur préparer le maximum de garantie en cas de décès. Puis, la déléguée de mon établissement, partant en retraite, m’a proposé de prendre la relève : faute de quoi, notre petit groupe (nous n’étions déjà pas très nombreux dans mon établissement) risquait de disparaître.
Par la suite, j’ai eu hélas l’occasion de mettre l’un des adhérents, collègue de mon lycée, en relation avec l’Orphelinat suite au décès de son épouse, et cela a renforcé ma motivation à continuer ce service. Ce collègue a témoigné auprès de moi de la fidélité avec laquelle une personne de l’Orphelinat le contacte chaque année, pour entretenir le lien avec lui et ses enfants.
F.Lefebvre, déléguée pour le Lycée Paul Hazard, Armentières, (59)
Novembre 2016

J’ai adhéré à l’association lorsqu’un collègue m’a parlé de l’OEP et de ses engagements, et je me suis aperçu que c’est simplement parce que l’association n’est pas toujours aussi connue qu’il le faudrait. Aussi, lorsque l’on m’a contacté pour devenir délégué pour mon établissement universitaire pour remplacer le collègue qui allait prendre des fonctions ailleurs, je n’ai guère hésité parce qu’il me semble que cette cause, souvent invisible dans notre milieu professionnel parce qu’elle touche les familles individuellement, nécessite un soutien sans faille. Le hasard a “mal” fait les choses: durant les quelques années où j’ai été délégué, deux familles d’adhérents ont connu un deuil et ont fait appel à notre solidarité. Et notre association a été d’une réactivité sans faille: aucune logique bureaucratique, uniquement une logique humaine. Et l’une des familles continue à adhérer à l’association et la remerciant, chaque année, de l’avoir soutenue matériellement dans son désarroi et ses difficultés.
Novembre 2016

10/10/2001

« Chère M.-C.,

Tu trouveras ci-joint un chèque dont le montant correspond à la cotisation demandée au titre de l’année 2001.

En espérant te revoir ces jours-ci et de pouvoir parler avec toi un peu plus longuement que ce midi, je tiens à te remercier de t’occuper toujours fidèlement de l’association et puisque, sur ce site, tu quittes tes fonctions de responsable je veux te manifester particulièrement ma reconnaissance pour ta présence et ton travail au sein de « l’orphelinat »…

Bien amicalement, »

Marc